Equipier de Club 2013

27-28 avril 2013 à Montrond-le-Château

CR de Lolo (cadre) :

Samedi matin : La cuisine se transforme doucement en champ de bataille, entre ceux qui émerge en se demandant pour quelle raison étrange il se retrouve a à peine dix heures du mat dans cette cuisine mal chauffer et ceux qui surexciter, sont déjà en tenue de combat et qui tente de déjouer le drame qui se passe ici à savoir : on est plus dans le tempo.

Une clope,

Un café,

Eric nous pousse son éternelle ritournelle que tout membre actif du club connait sur le bout des doigts et; oh ! Miracle ça marche un peu et les équipes se mettent lentement (voir très lentement) en mouvement en direction des différents gouffres programmer la veille.

Mes deux stagiaires et moi-même empruntons la voiture de Florain et nous voilà parti. Au bout de quelques centaines de mètres Ludovic commence à émettre des doutes sur notre GPS. En effet ce dernier ne parle pas français et comble de l’horreur il parle visiblement anglais. Il tente alors de se remémorer les cours d’anglais qu’il n’a pas sécher mais rien n’y fait il ne comprend rien !!! Et là c’est le drame (c’est lui le copilote).

Un débat s’engage alors sur l’utilité quand on est roumaine de parler en anglais à un téléphone sud-coréen pour trouver un point situé en France.(il doit y avoir une logique là-dedans) laissant mes stagiaires polémiquer sur le sujet j’en profite pour élaborer une stratégie sur le comment et à quelle sauce je vais les mangé.

Le gouffre étant plutôt facile il va falloir que je leurs complique la vie. J’opte donc pour équipement sans utilisation des broches et avec un maximum de deenema. Ni l’un ni l’autre ne maitre le sujet et la veille j’en ai pris plein en cachette (j’adore les surprises).

Apres une courte marche d’approche nous arrivons à l’entrée du gouffre, Ludovic étant un parfait gentleman il laisse Maria commencer.

Le temps ne se prêtant pas au bronzage j’abrège l’équipement du premier puits pour que l’on soit tous au chaud, puis les choses ce corse pose de dev et réglages au programme.

Arrivé en bas des puits je les laisse prendre la mauvaise route (après tout on a bien le temps de faire du tourisme).on rampe sur quelque mètres pour arriver dans une salle magnifique en haut du P30.ici maria fait une découverte ; Ludovic a un super appareil photo (elle va en user et en abuser pendant toute la sortie).

Nous repassons le ramping et trouvons le passage menant à l’escalade. Ludovic commence l’équipement de la vire, les spits en état ne sont pas légion mais ce n’est pas grave nous commençons et après trois spits l’un d’eux me pète à la gueule (normal).

Plus de peur que de mal, nous continuons et là Ludovic nous montre comment dévisser l’amarrage sur lequel on est longer ce qui me rappelle que les stagiaires ont souvent des tendances suicidaire (c’est du vécu), il faut que je reste vigilant.

Sur ce nous arrivons à un endroit assez confortable pour casser la croute.

Apres un rapide encas nous repartons et c’est Maria qui si colle. Un petit passage bas amène à la suite de la vire. Le début est assez facile mais ça ne dure pas, nous arrivons à un passable ou il faut allez chercher un point qui oblige la personne qui équipe à se mettre en équilibre instable au-dessus du vide (chaleur).là Maria nous montres comment monter sa poignée à l’envers, ce qui me rappelle que les stagiaires ont souvent des tendances très suicidaire (c’est toujours du vécu).il faut que je reste très vigilant.

Ludovic reprend les commandes et nous amène au fond du méandre, nous sommes en haut du dernier P30 mais Ludovic descend pour voir mais il est déjà tard et nous devons rebrousser chemin la mort dans l’âme.

Ludovic commence à déséquiper et arrive au passage ou Maria a eu quelque souci.

En bon sadique que je suis-je le laisse suer sang et eau puis sécher comme il se doit. Au bout de cinq minutes je lui donne les conseils dont il a besoin pour se sortir d’affaire et nous poursuivons notre progression vers la sortie. Maria prend la tête du groupe jusqu’à la fin du méandre ou Ludovic la remplace jusqu’à la sortie.

A la sortie un mélange de pluie et de neige fondue nous attend, nous nous déséquipons vite fait. La route du retour ce fait sans problème particulier mais en arrivant au gite une surprise nous attend … Eric à lâchement abandonné une équipe sans possibilité de retour (le vilain il a dut faire une marche arrière avec le minibus).

Bref le minibus est en panne d’éclairage (comment il a fait pour bousiller les phares en faisant une marche arrière la question reste à élucider). Eric donc prend la voiture de Florian pour aller chercher l’équipe restante et les retrouvera congeler mais vivants.

FIN


CR de Brice :

Le froid, la pluie, et même la neige, la météo ne nous aura rien épargné ; mais on s’en balance, parce que le pendule de Vauvougier valait bien on bon rhume !

Une fois n’est pas coutume : Florian nous récupère vendredi soir avec trois heures de retard, tout content d’avoir enfin pu boucler ses dossiers avant ses trois semaines de vacances. Quand on arrive à Montrond-le-Château, bien sûr rien n’est prêt pour le lendemain : les autres nous attendent bien sagement pour choisir les gouffres, préparer les kits et la bouffe ! Les équipes sont créées rapidement : Linda et moi on ira à Vauvougier avec Guillaume; pour Maria-Luiza et Ludovic, direction Ouzène avec Lolo; et enfin Florian et Chad iront se faire le Brizon, qu’Eric affectionne particulièrement… Ce qui est particulièrement pète-couille avec le stage équipier, c’est qu’on doit absolument se passer de la fiche d’équipement pour préparer les kits, et se baser uniquement sur la topo pour choisir les cordes et prévoir les moustifs. Allez on verra bien, on prend une 63m et 20 moustifs pour le puits d’entrée. Pour les puits suivants, des C20 et C30 devraient faire l’affaire, avec les quelques moustifs et AS qui restent (les autres équipes ont déjà fait la razzia sur les amarrages).

Le porche de Vauvougier

Couchés à 4h, réveillés vers 9h30 par le président qui scande mécaniquement son traditionnel ”allez messieurs-dames, on se réveille !”. Le minibus nous largue à côté du champ qui mène à Vauvougier avant de filer au Brizon. Dès notre arrivée sous le porche, je m’étonne qu’on n’ait pas encore mis ce superbe gouffre au programme d’une sortie club. Comme au Jérusalem, un petit ruisseau coule entre les blocs détachés de la paroi et se jette dans le puits d’entrée, largement plus impressionnant qu’au Jéru. J’attaque l’équipement par la rive droite, d’une part parce qu’il y a des broches, mais surtout parce que la vire plein pot a l’air de nous éloigner de la cascade. Quand on est formé sur les méga-vires du Puiselet, l’équipement de celle-ci, ni trop lâche ni trop tendue, se fait les doigts dans le nez. Arrivé à la tête de puits, première erreur : ne pas utiliser de plaquette tuilée en plafond, mais un AS avec deux oreilles. Derrière le becquet et deux mètres plus bas, il y a deux belles broches pour un frac, mais Guillaume suggère de mettre une dev … effectivement ça le fait bien !

Brumisateur géant

Jusqu’ici tout va bien, et il s’agit maintenant de descendre dans une grosse cannelure jusqu’à … jusqu’à quoi en fait ? Les infos collectées en douce hier soir sont assez sibyllines : ”passer sous la cascade”, ”équiper une vire (descendante ?) pour traverser le puits”, ”faire un pendule de malade pour atteindre une galerie en hauteur” … OK tout ça, mais dans quel ordre ?!? Voilà l’état de mes réflexions lorsque la cavité me rappelle brusquement à la réalité : en haut, la petite cascadelle qui se jette dans le puits n’avait pas l’air bien méchante, mais vingt mètres plus bas, c’est une autre affaire. Les gouttelettes pulvérisées forment un brumisateur géant qui ne tarde pas à me tremper complètement. Une chose est sûre, c’est pas par là ! Je vois bien une série de spits à gauche de la paroi (la fameuse ”vire pour traverser le puits”), mais ce n’est sûrement pas l’équipement hors-crue qu’on recherche ! Allez conversion, on remonte ! Dix mètres plus haut, je me trouve nez-à-nez avec deux splits… un frac ? On tente l’option pendule ? Mais vers où ? Installons déjà le frac, on verra bien après ! Je reprends la descente et finis par me retrouver deux ou trois mètres plus à gauche, mais toujours sous les attaques du brumisateur géant. Comment penduler ici, la roche est lisse et ça va frotter, là-haut !? Et avec ces putains de lunettes, couvertes de goutes d’eau et de buée, impossible de repérer quoi que ce soit à plus de cinq mètres !

Pendule sous les embruns

Je finis quand même par repérer un bout de nouille qui pendouille cinq-six mètres à ma gauche, derrière un becquet qui semble cacher un renfoncement du puits. Et si c’était ça, mon objectif ? En tout cas, impossible de l’atteindre d’ici, à moins d’équiper la vire et de terminer glacé jusqu’aux os. Deuxième conversion, le salut se trouve forcément au-dessus ! L’évidence s’impose 15 mètres plus haut : à la naissance d’une faille sur la gauche, deux broches trépignent d’impatience pour que je fractionne dessus. Comme dans un jeu vidéo, la descente s’enchaine ensuite parfaitement : je me retrouve plein vide, pas de frottement possible, à droite le ressaut où tombe la cascade, à gauche le bout de nouille. Tilt ! Pendule ! Sensation formidable, que de se balancer dans le vide, faiblement d’abord, puis avec une amplitude grandissante, de se propulser sur le bord du ressaut pour fendre la brume et l’obscurité comme un spiderman des ténèbres, et enfin de s’agripper tant bien que mal à ce bout de nouille prêt à s’échapper de vos mains à la moindre défaillance ! Cramponné au rocher tel un marin enchainé à la proue de son navire en pleine tempête, le visage (et les lunettes !) rincés par les embruns, on peut enfin souffler, rugir même, dans le vacarme de la cascade, pour savourer sa victoire sur les éléments indomptables !

Raboutage plein vide

Dernière difficulté avant que je passe la main : rabouter la C63 à ce niveau, et équiper la galerie ascendante (déjà équipée en fixe) jusqu’à ce qu’on soit en sécurité. Guillaume et Linda me rejoignent, et c’est déjà l’heure du repas. Linda reprend l’équipement du puits du pendule, tandis que je commence déjà à me refroidir. Au milieu du puits, il faut rabouter car j’ai utilisé la bonne corde pour terminer l’équipement de la galerie remontante après le pendule. Linda n’étant pas super à l’aise avec les passages de noeud, elle se sèche et se coince à son niveau… qu’à cela ne tienne, Guillaume sort sa corde d’intervention et descend jusqu’à elle pour l’aider. Pendant ce temps je me suis sérieusement refroidi et je commence même à grelotter légèrement … vivement un peu d’activité ! Linda pendule au milieu du puits pour enchainer l’équipement, suivi par Guillaume. Comme je ne trouve pas d’endroit tranquille et sûr pour aller me soulager, je finis par descendre en bas du puits du pendule, qui vaut le détour : une haute galerie inclinée, au sol percé par un chenal étroit et profond, et couvert de crottes de chauves-souris. Le retour auprès de mes coéquipiers confirme la présence de chiroptères : un grand rhinolophe sommeille à côté de Linda en train d’équiper. Bah ouais mon pote, y a pu d’saison, reste hiberner ici au chaud ! 17h, il est temps de faire demi-tour pour être à l’heure au gîte. Je déséquipe rapidement les cordes de Linda, prends un petit remontant, enquille la remontée du puits d’entrée, et me retrouve rapidement sur la vire, après quelques veines tentatives de prendre des photos de la cascade et de Mon Premier Pendule.

Il neige, et j’ai froid !

J’attends dix minutes, vingt minutes … ça traine drôlement en dessous, donc je décide d’aller aux nouvelles des autres, dans le pré à côté du gouffre. Première nouvelle : il neige !!! Deuxième nouvelle, Eric m’a laissé un message me disant qu’il nous attendra jusqu’à 19h dans le chemin longeant le pré, et il est … 18h55 ! Petit sprint avec tout le matos, ouf, le minibus ronronne toujours au bout du chemin, mais Eric doit partir pour récupérer les autres aux Ordons… Les Ordons ? Ces héros auraient donc enchainé deux gouffres dans la journée ?!? J’estime que Linda en a encore pour 30 minutes, on se donne donc rendez-vous ici-même dans 45 minutes, et je retourne me poster sur mon perchoir, au début de la vire. Là-bas, la situation a évolué : Guillaume a atteint la vire, et m’explique que Linda a fait un refus devant le déséquipement du pendule. C’est donc lui qui s’en est occupé, mais elle se charge du reste; à son rythme. Après un certain temps, je commence à sentir à nouveau les morsures du froid, donc je décide de me déséquiper et enfiler des vêtements chauds. Impossible de me réchauffer complètement, je vais devoir encore attendre un bon bout de temps à moitié grelottant, parmi la neige froide, l’eau glaciale, le vide obscur et rigoureux, tout est froid autour de moi, j’ai FROID !

Le minibus a disparu !

Alors que la nuit commence à tomber, c’est la délivrance (enfin, croit-on !). On charge les sacs et on décolle, direction le minibus qui normalement nous attend bien sagement, un peu plus loin sur le chemin. Mais point de minibus à l’horizon, le moustachu nous aurait-il abandonné à notre sort ? Impossible, il a du se passer quelque chose… Une chose est sûre, il ne faut pas rester ici, il faut s’activer pour éviter l’hypothermie dans ce climat hivernal printanier rigoureux ! Combien de kilomètres fera-t-on dans la neige et la nuit tombante ? Trop, c’est sûr ! L’onglée me guette, Linda ralentit l’allure, on se fait du mal en pensant à l’énorme poêle à bois du gîte, dans lequel on plongerait bien toutes entières nos mains congelées ! Un bruit de moteur, la lumière des phares à travers la lisière de la forêt. Hallucinations, ou bien une voiture qui s’approche ? C’est Florian, parti à notre recherche dès le retour d’Eric, sans GPS, sans carte, sachant à peine où on se trouvait !!! Grâce te soit rendue, ça fait déjà deux fois que tu me tires du pétrin !!! Pas le temps de s’éterniser, on entasse pêle-mêle la valise “Linda” et le sac “Guillaume” dans le coffre avec les kits d’équipement, et on file au bercail, le chauffage à fond dans la fidèle 306.

Maelström au Brizon ?

Explications de tout ce bazar ambiant : l’éclairage du minibus étant tombé H.S. pendant qu’Eric nous attendait, il a du rentrer en catastrophe à Montrond avant que la nuit tombe. On s’est raté à un quart d’heure prêt… Les “héros” Chad et Florian n’ont pas fait deux gouffres comme je l’avais d’abord cru : arrivés au Brizon, ils y ont trouvé une cascade monumentale dans le P4 d’entrée, et ont été instantanément douchés. Le boyau d’accès aux grands puits étant très arrosé, ils ont renoncé là … à -10 m sous terre, un record ! A noter que personne n’a pensé à aller vérifier si la perte s’était véritablement transformée en un enfer aquatique digne des chutes Victoria et du Niagara, réunies en un vortex d’eau glacée dans lequel aucun spéléo n’aurait pu tenir plus de quelques minutes sans ressortir ”aussi déchiré que s’il avait fait un -500” (je vous laisse deviner qui est l’auteur de cette nouvelle muckenade !!!), ou si nos vaillants compères n’ont pas tout simplement reculé devant un mince filet d’eau qui risquait d’humidifier légèrement leur belles combinaisons reluisantes !!! Rentrés bredouilles vers midi, et plutôt que de déglinguer le stock de binouze comme ce fut le cas à la Favière, ils ont opté pour l’équipement des Ordons en fin d’après-midi, en laissant équipé pour permettre une deuxième visite le lendemain.

Saboteur Fédéral

La soirée se prolonge tard dans la nuit, avec quelques polémiques sur le tonchage de cordes (« Qui est responsable ? » Réponse en chœur : « c’est Brice !!! »), un debriefing des bourdes de la journée (Chad pas longé au bord d’un P18 « masqué » par les fameuses chutes du Niagara décrites plus haut, Ludo qui dévisse une plaquette alors qu’il est en tension dessus, …), l’occasion pour moi de placer que j’équipe « excellemment bien » les vires (second degré, les mecs !), et on termine par trois questionnaires concoctés par le cadre en chef : équipement, karsto, encadrement, biospéléologie, fédération, … tout est passé en revue et on s’est bien marré : L’EFS c’est quoi ? L’Etablissement Français du Sang ; Le nom de notre présidente ? Censuré ; Les grades fédéraux ? Initateur, Moniteur et Saboteur fédéral, etc…

A pieds jusqu’aux Ordons

Le lendemain, Lolo et Eric tentent en vain de réparer l’éclairage du minibus, puis on part à pied en direction des Ordons. Seuls Chad et Florian partent à Ouzène avec Eric pour faire un peu d’équipement (plus qu’hier, en tout cas). La vire d’entrée étant un peu olé-olé (trop lâche pour une vire, trop tendue pour mettre le descendeur, …) on finit par placer une simple dev à la place du mono-point au rôle indéfinissable. Après, c’est nickel, et les compères se sont même fait plaisir en équipant la tête de puits avec de la dyneema. Pris de vertiges, Lolo remonte, tandis que je tente désespérément de prendre la cavité en photo, placé juste sous la voûte… Mais mon flash n’a décidément pas assez de patate pour de tels volumes. On repère quelques soutirages intriguants (il n’y a pas de raison que les Ordons restent un -40 toute leur vie, alors que les gouffres alentours dépassent les -100 …), et la dernière portion de la galerie, trapézoïdale, ressemble furieusement aux carrières de première masse de gypse, comme à Gagny (sans les étais en bois tout bizarres, bien sûr !). Maria-Luiza se charge du déséquipement, et on rentre tranquillement au gîte, en donnant au passage quelques touffes d’herbes à deux chevaux faméliques et couverts de boue, abandonnés à leur triste sort dans un enclos boueux. Repas rapide, questionnaire de satisfaction pour l’EFS, et on termine de nettoyer le matos et le gîte pour que nos potes puissent quitter le Doubs vers 16h30, de façon à arriver avant la nuit à Montgeron (rapport aux phares qui marchent plus sur le minibus, vous suivez ?). Mission accomplie, ils arriveront à la nuit tombante, tandis que Florian, Maria-Luiza et moi nous rendions à Mouthier-Hautepierre pour démarrer deux journées de désob aux Rappants !

Participants : Eric, Lolo (SCCI), Guillaume (SCCM), Brice, Florian, Chad, Maria-Luiza, Linda (SCL), Ludo (indépendant)
TPST : de 8 heures à 30 minutes
Chauves-souris : crottes et petit rhinolophe à Vauvougier
Fiche d’équipement : Vauvougier : C60 + C20 (pendule + galerie remontante)